Les chiens de gardes roses
avec ou sans Berger
savent se montrer serviles
avec leur maître
La fondée de pouvoir du MEDEF a validé le licenciement d’un délégué CGT d’Air France (licenciement que l'inspection du travail avait refusé) accusé d’avoir participé à l’épisode de la « chemise arrachée », a annoncé lundi 8 août son ministère dans un communiqué.
Quatre employés d’Air France ont été licenciés dans le cadre de cette affaire. L’inspection du travail avait refusé d’autoriser le licenciement du cinquième, le délégué du personnel, indiquant que les « faits invoqués pris dans leur ensemble ne permettent pas d’établir l’existence d’une faute lourde commise par le salarié, caractérisant son intention de nuire vis-à-vis de l’entreprise ».
« A l’issue d’une analyse longue et minutieuse des faits survenus le 5 octobre 2015 en marge du comité central d’entreprise du groupe Air France, et sur la base des éléments portés au dossier, il ressort que la faute reprochée est d’une gravité suffisante pour justifier le licenciement du salarié protégé », précise le communiqué du ministère.
Il va falloir certainement monter d'un cran dans la lutte contre ce terrorisme d'état qui use de toutes les ficelles répressives pout tenter d'intimider le monde du travail.
La France en Solférinorama semble vouloir nous préparer à un pays en F-hainoscope comme si la solférinocratie constatant sa faillite voudrait garantir à ses mentors une France sociale si ce n'est anéantie du moins durablement muselée avant de ceder la place aux autres parties de la droite qui se chargeraient des finitions.
C'est mal conaitre notre peuple. Et si Myriam El Belin a encore des illusions, la colère sociale, sèchement les lui fera ravaler.
Maintenant, plus que jamais, imposer le retrait de cette loi, grâce au rapport de force faire annuler les lettres de cachet de la marquise de Grenelle et la renvoyer à ses électeurs qui devront se charger de la mettre hors piste .