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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Ne jamais oublier...pour ne pas voir revenir.

Publié le 22 Juillet 2016 par Canaille Lerouge in politique, histoire, PCF, Trahison, social-démocratie

Passant

toi qui rencontre

cette page,

souviens-toi!

Ca commence toujours par un état d'urgence

 

 

Juste pour rafraichir les mémoires au moment où la presse et sa façon de servir ou non les interets de la réaction, d'affronter ou pas celle-ci et le capital que toujours elle sert est à l'ordre du jour, cette page transfusée depuis le blog de Roger Colombier en mémoire de Lucien Sempaix.

Un simple rappel : le ministre de la justice en juillet 1938 se nomme Paul Reynaud (AD formation où se retrouvera Mitterrand) lequel Raynaud sera président conseil en 1940. Petain (à qui  Raynaud a voté les pleins pouvoirs et pour cela poignardera la République) lui succédera.

Le ministre de la justice est albert Sarraut (radical), ministre de Raunaud en 40, il vote en faveur de la remise des pleins pouvoirs au Maréchal Pétain

Dans le gouvernement Raynaud 1940 un certain Serol (SFIO) ministre de la justice fera voter la loi instituant la peine de mort applicable aux communistes ( il votera les pleins pouvoirs à Pétain. 

Toute cette brochette appartenant à la majorité parlementaire élue en 1936 manipulera la répression anti ouvrière et anticommuniste avec la même virulence qu'ils ont été des plus actifs munichois avant pour nombre d'entre eux de s'engager dans la collaboration (certains plus tard, bien après les fusillades des militants communistes et syndicaliste) prendront leur distance. 

Valls n'est pas à proprement parler une révélation dans la dérive droitière de la "gauche" française il pourrait même revendiquer être le canal historique, Jules Moch ayant aidé à passer le pont de 1944.

Ne jamais oublier...pour ne pas voir revenir.

Le lien vers la page et le blog de Roger Colombier :

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